Après les attaques de fermes, pour libérer les pauvres cochons ou lapins prisonniers, les attaques des magasins de fourrures, et les attaques d'animaleries, la psychose touche maintenant l'ensemble des bouchers de France.
Certains reçoivent des menaces par lettres, téléphone, etc. Les enfants et les familles sont particulièrement visés.
Les dégâts imputés à ces associations s'élèvent déjà à plusieurs dizaines de milliers d'euros, sans compter les dégâts moraux dus au harcèlement.
Rappelons qu'ils demandent aussi à ce que certaines associations de protection animale puissent se porter partie civile pour faire valoir les "droits des animaux" devant un tribunal contre les bouchers, fourreurs, agriculteurs, etc.
Le plus grave est sans doute que la Chancellerie se pencherait, paraît-il, en ce moment même sur la possibilité de faire droit à ces demandes en modifiant le Code civil.
Espérons que le bon sens l'emportera.