Au niveau européen, les Hommes Politiques ont de plus en plus peur de ceux qui se présentent souvent, au départ, comme leurs "amis".
Les rares personnes qui ont eu à traiter des dossiers de "protection des animaux" ont souvent témoigné qu'elles avaient fait l'objet de pressions d'abord amicales ensuite plus radicales voire violentes en cas de désaccord.
Mme Jeggle qui, dans son rapport, a pourtant donné raison à plusieurs demandes des extrémistes de la protection animale (notamment l'interdiction des coqs de combats, qui va entraîner la disparition de très nombreuses races ancestrales de coqs de combats, partie intégrante de la diversité biologique et de notre patrimoine historique et culturel) a dû constamment être protégée par des gardes du corps.
Une solution plus démocratique ne serait-elle pas plus simplement de ne pas céder aux ruses juridiques de ces minorités pro-actives, dont le but est en réalité d'imposer leur propre végétalisme idéologique et leurs propres choix de vie (aucune utilisation des animaux) à une majorité de citoyens européens qui n'en veut surtout pas ?