Les adhérents de ProNaturA-France souhaitent vacciner leurs volailles contre de nombreuses maladies. Cependant le conditionnement et le prix sont des obstacles. ProNaturA-France lance donc des actions pour obtenir des vaccins accessibles. Voir ci-dessous les pétition et lettres à envoyer au Président de la République, au Gouvernement français, aux sénateurs et aux députés
Les poules aimeraient être vaccinées
Pétition au gouvernement français
Lettre au Président de la République
Lettre aux sénateurs
Lettre aux députés

PROTECTION DES ANIMAUX :
LES POULES AIMERAIENT ETRE VACCINEES

Protéger les animaux signifie leur assurer de bons soins et une bonne santé, mais signifie aussi empêcher de disparaître les espèces ou races rares et à faibles effectifs.
Un rapport de l'ONU (FAO) a rappelé qu'il existe en France une soixantaine de races rares de volailles, créées par nos ancêtres, qui représentent un patrimoine vivant, culturel, génétique et historique, qui ne doit surtout pas disparaître. (Pour mémoire, le coq gaulois, symbole de la France, qui domine nos clochers, est une race très menacée de disparition).
L'ONU a demandé à ce que tout soit mis en œuvre pour aider à les sauvegarder.
Alors qu'il existe des vaccins individuels ou en 10 doses pour la plupart des maladies des chiens, chats et lapins et autres animaux, la quasi- totalité des vaccins pour volailles n'existe qu'en 1000 doses.
Cela signifie qu'alors même qu'une très grande majorité de particuliers et d'éleveurs familiaux souhaiterait pouvoir protéger la santé de leurs animaux de basse-cour, ils ne le peuvent pas . (Voir étude de ProNaturA France menée début 2005).
Prenons un exemple : le vaccin contre la maladie respiratoire chronique des volailles n'existe qu'en 1000 doses au prix de 160 €. A ce prix, seuls les industriels de l'agro-alimentaire peuvent acheter le vaccin car le coût sera de 0.16 € par volaille. Pour un particulier qui n'a que 10 poules le coût est de 16 € par poule, deux fois par an, soit deux fois le prix de la poule.
A l'heure actuelle, seuls les industriels peuvent protéger leurs animaux ; les particuliers qui pourtant choient leurs animaux, ne peuvent pas les vacciner car il n'y a pas pratiquement aucun vaccin en 10 ou 100 doses.
Certes, les autres maladies des volailles ne sont pas transmissibles aux humains.
Cependant, les éleveurs familiaux préféreraient vacciner plutôt que d'utiliser des antibiotiques car l'utilisation d'antibiotiques favorise l'apparition de résistances.
Pour une raison de santé publique, ProNaturA France et ses membres, dont la Société Centrale d'Aviculture de France et sa section Fédération Française des éleveurs de volailles demandent aux Pouvoirs Publics :
1°) que tous les fabricants de vaccins pour volailles qui produisent des vaccins en 1000 doses et qui souhaitent produire les mêmes vaccins en 100 ou 10 doses obtiennent une dérogation afin de ne pas avoir à demander une nouvelle autorisation de mise sur le marché par l'AFSSA.
La procédure d'autorisation actuelle, longue et coûteuse, les décourage de produire en 10 ou 100 doses.
2°) que des incitations fiscales, financières ou autres, soient données aux fabricants de vaccins qui feront l'effort de produire des vaccins pour les éleveurs et particuliers en 10 ou 100 doses à des prix raisonnables.
Il en va de la santé des animaux.
Il en va de la santé des humains.

Nom, prénom :
Signature :
Région (facultatif) :
Association(s) :

http://perso.wanadoo.fr/volaillepoultry/
http://pronaturafrance.free.fr

DES VACCINS POUR PROTEGER LES RACES A FAIBLES EFFECTIFS

Je soussigné, demande au gouvernement français :
1°) que tous les fabricants de vaccins pour volailles qui produisent des vaccins en 1000 doses et qui souhaitent produire les mêmes vaccins en 100 ou 10 doses obtiennent une dérogation afin de ne pas avoir à demander une nouvelle autorisation de mise sur le marché par l'AFSSA.
La procédure d'autorisation actuelle, longue et coûteuse, les décourage de produire en 10 ou 100 doses.
2°) que des incitations fiscales, financières ou autres, soient données aux fabricants de vaccins qui feront l'effort de produire des vaccins pour les éleveurs et particuliers en 10 ou 100 doses à des prix raisonnables.
Nom Prénom Profession Adresse complète Pays Signature
           
           
           
           
           
           
           
           
           

A retourner à Aude TESSEYRE, Ingénieur Ecologue Elevage Avicole pour la Biodiversité Domestique, Enjouanon Bas, 32220 Saint Lizier du Planté.
Tél : 33.(0)5.62.62.02.69. Free : 33.(0)8.72.75.72.35. Portable : 33.(0)6.81.73.79.03. Email : aude.tesseyre@free.fr
PROTECTION DES ANIMAUX : LES POULES AIMERAIENT ETRE VACCINEES

Monsieur le Président de la République,

Protéger les animaux signifie leur assurer de bons soins et une bonne santé, mais signifie aussi empêcher de disparaître les espèces ou races rares et à faibles effectifs.
Un rapport de l'ONU (FAO) a rappelé qu'il existe en France une soixantaine de races rares de volailles, créées par nos ancêtres, qui représentent un patrimoine vivant, culturel, génétique et historique, qui ne doit surtout pas disparaître. (Pour mémoire, le coq gaulois, symbole de la France, qui domine nos clochers, est une race très menacée de disparition).
L'ONU a demandé à ce que tout soit mis en œuvre pour aider à les sauvegarder.
Alors qu'il existe des vaccins individuels ou en 10 doses pour la plupart des maladies des chiens, chats et lapins et autres animaux, la quasi- totalité des vaccins pour volailles n'existe qu'en 1000 doses.
Cela signifie qu'alors même qu'une très grande majorité de particuliers et d'éleveurs familiaux souhaiterait pouvoir protéger la santé de leurs animaux de basse-cour, ils ne le peuvent pas . (Voir étude de ProNaturA France menée début 2005).
Prenons un exemple : le vaccin contre la maladie respiratoire chronique des volailles n'existe qu'en 1000 doses au prix de 160 €. A ce prix, seuls les industriels de l'agro-alimentaire peuvent acheter le vaccin car le coût sera de 0.16 € par volaille. Pour un particulier qui n'a que 10 poules le coût est de 16 € par poule, deux fois par an, soit deux fois le prix de la poule.
A l'heure actuelle, seuls les industriels peuvent protéger leurs animaux ; les particuliers qui pourtant choient leurs animaux, ne peuvent pas les vacciner car il n'y a pas pratiquement aucun vaccin en 10 ou 100 doses.
Certes, les autres maladies des volailles ne sont pas transmissibles aux humains.
Cependant, les éleveurs familiaux préféreraient vacciner plutôt que d'utiliser des antibiotiques car l'utilisation d'antibiotiques favorise l'apparition de résistances.
Pour une raison de santé publique, ProNaturA France et ses membres, dont la Société Centrale d'Aviculture de France et sa section Fédération Française des éleveurs de volailles demandent aux Pouvoirs Publics :
1°) que tous les fabricants de vaccins pour volailles qui produisent des vaccins en 1000 doses et qui souhaitent produire les mêmes vaccins en 100 ou 10 doses obtiennent une dérogation afin de ne pas avoir à demander une nouvelle autorisation de mise sur le marché par l'AFSSA.
La procédure d'autorisation actuelle, longue et coûteuse, les décourage de produire en 10 ou 100 doses.
2°) que des incitations fiscales, financières ou autres, soient données aux fabricants de vaccins qui feront l'effort de produire des vaccins pour les éleveurs et particuliers en 10 ou 100 doses à des prix raisonnables.
Il en va de la santé des animaux.
Il en va de la santé des humains.

Nom, prénom :
Signature :
Région (facultatif) :
Association(s) :

PROTECTION DES ANIMAUX : LES POULES AIMERAIENT ETRE VACCINEES

Madame, Monsieur le Sénateur,

Protéger les animaux signifie leur assurer de bons soins et une bonne santé, mais signifie aussi empêcher de disparaître les espèces ou races rares et à faibles effectifs.
Un rapport de l'ONU (FAO) a rappelé qu'il existe en France une soixantaine de races rares de volailles, créées par nos ancêtres, qui représentent un patrimoine vivant, culturel, génétique et historique, qui ne doit surtout pas disparaître. (Pour mémoire, le coq gaulois, symbole de la France, qui domine nos clochers, est une race très menacée de disparition).
L'ONU a demandé à ce que tout soit mis en œuvre pour aider à les sauvegarder.
Alors qu'il existe des vaccins individuels ou en 10 doses pour la plupart des maladies des chiens, chats et lapins et autres animaux, la quasi- totalité des vaccins pour volailles n'existe qu'en 1000 doses.
Cela signifie qu'alors même qu'une très grande majorité de particuliers et d'éleveurs familiaux souhaiterait pouvoir protéger la santé de leurs animaux de basse-cour, ils ne le peuvent pas . (Voir étude de ProNaturA France menée début 2005).
Prenons un exemple : le vaccin contre la maladie respiratoire chronique des volailles n'existe qu'en 1000 doses au prix de 160 €. A ce prix, seuls les industriels de l'agro-alimentaire peuvent acheter le vaccin car le coût sera de 0.16 € par volaille. Pour un particulier qui n'a que 10 poules le coût est de 16 € par poule, deux fois par an, soit deux fois le prix de la poule.
A l'heure actuelle, seuls les industriels peuvent protéger leurs animaux ; les particuliers qui pourtant choient leurs animaux, ne peuvent pas les vacciner car il n'y a pas pratiquement aucun vaccin en 10 ou 100 doses.
Certes, les autres maladies des volailles ne sont pas transmissibles aux humains.
Cependant, les éleveurs familiaux préféreraient vacciner plutôt que d'utiliser des antibiotiques car l'utilisation d'antibiotiques favorise l'apparition de résistances.
Pour une raison de santé publique, ProNaturA France et ses membres, dont la Société Centrale d'Aviculture de France et sa section Fédération Française des éleveurs de volailles demandent aux Pouvoirs Publics :
1°) que tous les fabricants de vaccins pour volailles qui produisent des vaccins en 1000 doses et qui souhaitent produire les mêmes vaccins en 100 ou 10 doses obtiennent une dérogation afin de ne pas avoir à demander une nouvelle autorisation de mise sur le marché par l'AFSSA.
La procédure d'autorisation actuelle, longue et coûteuse, les décourage de produire en 10 ou 100 doses.
2°) que des incitations fiscales, financières ou autres, soient données aux fabricants de vaccins qui feront l'effort de produire des vaccins pour les éleveurs et particuliers en 10 ou 100 doses à des prix raisonnables.
Il en va de la santé des animaux.
Il en va de la santé des humains.

Nom, prénom :
Signature :
Région (facultatif) :
Association(s) :

PROTECTION DES ANIMAUX :
LES POULES AIMERAIENT ETRE VACCINEES

Madame, Monsieur le Député,

Protéger les animaux signifie leur assurer de bons soins et une bonne santé, mais signifie aussi empêcher de disparaître les espèces ou races rares et à faibles effectifs.
Un rapport de l'ONU (FAO) a rappelé qu'il existe en France une soixantaine de races rares de volailles, créées par nos ancêtres, qui représentent un patrimoine vivant, culturel, génétique et historique, qui ne doit surtout pas disparaître. (Pour mémoire, le coq gaulois, symbole de la France, qui domine nos clochers, est une race très menacée de disparition).
L'ONU a demandé à ce que tout soit mis en œuvre pour aider à les sauvegarder.
Alors qu'il existe des vaccins individuels ou en 10 doses pour la plupart des maladies des chiens, chats et lapins et autres animaux, la quasi- totalité des vaccins pour volailles n'existe qu'en 1000 doses.
Cela signifie qu'alors même qu'une très grande majorité de particuliers et d'éleveurs familiaux souhaiterait pouvoir protéger la santé de leurs animaux de basse-cour, ils ne le peuvent pas . (Voir étude de ProNaturA France menée début 2005).
Prenons un exemple : le vaccin contre la maladie respiratoire chronique des volailles n'existe qu'en 1000 doses au prix de 160 €. A ce prix, seuls les industriels de l'agro-alimentaire peuvent acheter le vaccin car le coût sera de 0.16 € par volaille. Pour un particulier qui n'a que 10 poules le coût est de 16 € par poule, deux fois par an, soit deux fois le prix de la poule.
A l'heure actuelle, seuls les industriels peuvent protéger leurs animaux ; les particuliers qui pourtant choient leurs animaux, ne peuvent pas les vacciner car il n'y a pas pratiquement aucun vaccin en 10 ou 100 doses.
Certes, les autres maladies des volailles ne sont pas transmissibles aux humains.
Cependant, les éleveurs familiaux préféreraient vacciner plutôt que d'utiliser des antibiotiques car l'utilisation d'antibiotiques favorise l'apparition de résistances.
Pour une raison de santé publique, ProNaturA France et ses membres, dont la Société Centrale d'Aviculture de France et sa section Fédération Française des éleveurs de volailles demandent aux Pouvoirs Publics :
1°) que tous les fabricants de vaccins pour volailles qui produisent des vaccins en 1000 doses et qui souhaitent produire les mêmes vaccins en 100 ou 10 doses obtiennent une dérogation afin de ne pas avoir à demander une nouvelle autorisation de mise sur le marché par l'AFSSA.
La procédure d'autorisation actuelle, longue et coûteuse, les décourage de produire en 10 ou 100 doses.
2°) que des incitations fiscales, financières ou autres, soient données aux fabricants de vaccins qui feront l'effort de produire des vaccins pour les éleveurs et particuliers en 10 ou 100 doses à des prix raisonnables.
Il en va de la santé des animaux.
Il en va de la santé des humains.
Nom, prénom :
Signature :
Région (facultatif) :
Association(s) :


Page d'accueil